Quatre chroniqueurs, quatre films d’actualité, une analyse de séquence et un écrit théorique. Émission mensuelle d’une heure.
Une émission produite par Mathilde Grasset et Élie Raufaste.
Une émission de Élie Raufaste, Mathilde Grasset et Arthur Kramer.
Pour ce second numéro, on commence par un débat critique, autour de quatre films présents au 72e Festival de Cannes : The Dead Don’t Die de Jim Jarmusch, Sybil de Justine Triet, Le Jeune Ahmed de Jean-Pierre et Luc Dardenne, et enfin Douleur et Gloire de Pedro Almodovar.
Plongée ensuite dans le cinéma d’Agnès Varda, qui veillait elle aussi sur la Croisette du haut de ses affiches. Nous écouterons une séquence de son film Daguerréotypes (1975) : comment la parole des personnages fait-elle émerger la fiction au sein du dispositif documentaire de la cinéaste ?
Enfin, un peu d’encre pour terminer en lecture : un texte d’Abbas Kiarostami, qui se penche sur la place du spectateur, puis quatre livres fraîchement parus sur le cinéma, disponibles à la librairie de l’Institut Lumière.
Le texte :
« Un film, cent rêves » Abbas Kiarostami, publié dans Abbas Kiarostami. Textes, entretiens, filmographie (2008), La Petite Bibliothèque des Cahiers du cinéma
Les conseils de lecture :
Bonnes vacances à toutes et à tous, on se retrouve à la rentrée, du son et des images plein les poches!
Quatre chroniqueurs, quatre films d’actualité, une analyse de séquence et un écrit théorique. Emission mensuelle d’une heure.
Débat autour des films Le Photographe, 1917 et Séjour dans les monts Fuchun, réflexion autour du rire au cinéma, lecture d’un texte de Fabrice Revault sur le motif du décor détruit dans les films.
Débat critique sur quatre films de la rentrée, suivi d’un échange entre Emmanuelle Devos et Arnaud Desplechin à la Cinémathèque, puis de la lecture d’un texte d’Alain Bergala.
Chacun choisit un film et tous en discutent : petit périple de trente minutes dans l’actualité cinématographique du mois. Lumière ensuite sur une séquence de l’histoire du cinéma : que reste-t-il de l’image quand on ne garde du film que le son ? Comment peut-elle encore « raconter » ? De l’encre pour finir, celle d’un texte théorique sur le cinéma, lu et resitué dans son contexte historique et intellectuel — celle, encore, des nouveautés fraîchement imprimées disponibles en librairie !