Quatre chroniqueurs, quatre films d’actualité, une analyse de séquence et un écrit théorique. Émission mensuelle d’une heure.
Une émission produite par Mathilde Grasset et Élie Raufaste.
Une émission de Élie Raufaste, Mathilde Grasset et Marie Dougnac.
Pour ce sixième numéro, on discute ensemble de films très différents, tous les trois sortis en janvier: Le Photographe de Ritesh Batra (réalisateur de The Lunchbox, 2013), 1917 de Sam Mendes, et Séjour dans les mont Fuchun de Gu Xiaogang.
On continue avec un petit zoom sur le rire au cinéma : du rire des personnages au rire des spectateurs, écoutons comment, à l’écran, le rire génère de la communion, de la subversion, voire de la destruction. L’occasion parfaite d’enchaîner avec la lecture d’un texte de Fabrice Revault, “La destruction du décor”. On termine comme d’habitude avec quelques livres fraîchement parus sur le cinéma.
Le texte :
“La destruction du décor”, Fabrice Revault, Les motifs au cinéma, sous la direction de Jordi Balló et Alain Bergala, Presses Universitaires de Rennes, août 2019
Les conseils de lecture:
Les musiques de l’émission :
Avec la participation de Romane Carrière que l’on remercie!
PS : Toutes nos excuses pour la piètre qualité (intermittente) du son dans cet épisode, due à un micro défectueux. On y remédiera, promis !
Débat autour des films Un Divan à Tunis, La fille au bracelet et La Cravate, regard sur les relations entre Occidentaux et Japonais au cinéma, puis lecture d’un texte de Louis Delluc, “La Beauté au cinéma”.
Débat critique sur quatre films de la compétition cannoise, suivi de l’analyse d’une séquence d’Agnès Varda puis de la lecture d’un texte d’Abbas Kiarostami.
Quatre chroniqueurs, quatre films d’actualité, une analyse de séquence et un écrit théorique. Emission mensuelle d’une heure.
Chacun choisit un film et tous en discutent : petit périple de trente minutes dans l’actualité cinématographique du mois. Lumière ensuite sur une séquence de l’histoire du cinéma : que reste-t-il de l’image quand on ne garde du film que le son ? Comment peut-elle encore « raconter » ? De l’encre pour finir, celle d’un texte théorique sur le cinéma, lu et resitué dans son contexte historique et intellectuel — celle, encore, des nouveautés fraîchement imprimées disponibles en librairie !