L'Encre et la Lumière

Quatre chroniqueurs, quatre films d’actualité, une analyse de séquence et un écrit théorique. Émission mensuelle d’une heure.
Une émission produite par Mathilde Grasset et Élie Raufaste.

L’Encre et la Lumière n°65 février 2020

Retour sur les films de janvier

Une émission de , et .

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Pour ce sixième numéro, on discute ensemble de films très différents, tous les trois sortis en janvier: Le Photographe de Ritesh Batra (réalisateur de The Lunchbox, 2013), 1917 de Sam Mendes, et Séjour dans les mont Fuchun de Gu Xiaogang.

On continue avec un petit zoom sur le rire au cinéma : du rire des personnages au rire des spectateurs, écoutons comment, à l’écran, le rire génère de la communion, de la subversion, voire de la destruction. L’occasion parfaite d’enchaîner avec la lecture d’un texte de Fabrice Revault, “La destruction du décor”. On termine comme d’habitude avec quelques livres fraîchement parus sur le cinéma.

Le texte :

“La destruction du décor”, Fabrice Revault, Les motifs au cinéma, sous la direction de Jordi Balló et Alain Bergala, Presses Universitaires de Rennes, août 2019

Les conseils de lecture:

  • J’ai oublié, Bulle Ogier et Anne Diatkine, éditions du Seuilseptembre 2019
  • Dictionnaire des cinémas chinois : Chine, Hong-Kong, Taiwan, sous la dir. de Nathalie Bittinger, Paris : Éditions Hémisphères, 2019
  • Valérie Donzelli, le tourbillon de la vie, Thomas Messias et Quentin Mével, éd. Playlist Society, janvier 2020
  • Le cinéma par la danse, Hervé Gauville, éd. Capricci, novembre 2019

Les musiques de l’émission : 

    • “Streets of Detroit”, Jozef Van Wissem / SQÜRL, Only Lovers Left Alive (Original Motion Picture Soundtrack)
    • “Overture”,  The Nightmare Before Christmas, Danny Elfman

 

Avec la participation de Romane Carrière que l’on remercie!

PS : Toutes nos excuses pour la piètre qualité (intermittente) du son dans cet épisode, due à un micro défectueux. On y remédiera, promis !

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Chacun choisit un film et tous en discutent : petit périple de trente minutes dans l’actualité cinématographique du mois. Lumière ensuite sur une séquence de l’histoire du cinéma : que reste-t-il de l’image quand on ne garde du film que le son ? Comment peut-elle encore « raconter » ? De l’encre pour finir, celle d’un texte théorique sur le cinéma, lu et resitué dans son contexte historique et intellectuel — celle, encore, des nouveautés fraîchement imprimées disponibles en librairie !

En partenariat avec la librairie de l’Institut Lumière.