Quitter la neige, les montagnes et les lacs du Jura. Mais si vous savez, c'est vers la Suisse.
Découvrir Pierre Michon et les endomorphismes nilpotents.
Se dire qu'on préfère le premier aux deuxièmes.
Aller au théâtre.
Trouver que le sport manque.
Aller au théâtre à vélo.
Pas suffisant.
Trouver refuge au studio avec un bon thé après être allée à Bron à vélo. Mais si vous savez, c'est vers... Heu...
Non, ne pas dire « heu », terrible au montage.
Penser à crier « Enspectateurs ! » dans le micro, et aussi plein d'autres phrases chouettes à l'occasion.
Dans la cage qu’est devenue la scène, le spectacle Bestie di scena d’Emma Dante nous confronte à ce que nous projetons sur des corps d’hommes et de femmes.
Savourez ce numéro de L’Écume des pages puisqu’il s’agit des cinq derniers ouvrages de la rentrée littéraire 2018, mais nos critiques demeurent intransigeantes.
Saperlipapotte !, c’est le format plus nourri du “Journal de la culture”. Drôle et bigarrée, elle vous offre un panel de chroniques allant des arts à la géo.
Deux pièces qui mettent les femmes au centre de leurs préoccupations cette semaine, de manières très différentes certes mais avec à chaque fois l’exploration d’un espace singulier.
Nos critiques ne se reposent pas sur leurs lauriers et reviennent avec de nouveaux ouvrages à vous présenter et parmi, eux, de vrais coups de cœur.
Découvrez cette semaine une fausse conférence sur les limites, l’écologie et surtout sur les Vikings du Groenland,avec un parti pris résolument loufoque.
La rentrée littéraire a été riche en bandes-dessinées, nous continuons donc notre exploration du 9e art !
A la rencontre de Nolwenn, Anna et Cyrielle qui nous parlent de Sept reines qu’elles joueront en novembre au théâtre de la Renaissance.
Quatre nouvelles bandes-dessinées à découvrir pour ce troisième enregistrement : de vraies perles mais aussi quelques lectures en demi-teinte.
A la découverte de quelques-uns romans de la rentrée littéraire qui ont marqué ou déçu nos lectrices du jour.
Une première exploration des bandes-dessinées que l’on peut trouver chez nos libraires en cette rentrée littéraire.
Un diptyque sonore : Manque et 4.48 de Sarah Kane au théâtre des Clochards Célestes.
Questionner les illusions qui nous rassurent quant à notre propre vie, voici le projet d’Olivier Maurin qui monte un texte d’Ivan Viripaev.
Adaptation de film et adaptation de roman au programme de ce nouvel Enspectateurs !
Pour le deuxième numéro de la saison, nous partons en Corée pour Burning et avons rencontré la réalisatrice Debra Granik.