Il était une Science

Dans Il était une Science, écoutez Pauline et Nicolas vous raconter l'histoire de nos grandes découvertes scientifiques.
Une émission produite par Nicolas Auvray et Pauline Claudot.

Il était une Science n°911 février 2015

Le système solaire

Une émission de et .

Télécharger

Pauline et Nicolas restent dans le domaine de la physique, avec cette semaine, l’étude du système solaire dont nous faisons partie.
Comment est-on passé d’une Terre au centre de l’Univers à une simple planète parmi tant d’autres ? Quels secrets cache encore notre voisinage immédiat ? (quelques millions de kilomètres, tout de même !)

On va vous expliquer tout ça en douceur ! Et vous parler de Copernic, de Galilée, de le Verrier, mais aussi de Brecht et de Lady Gaga, pourquoi pas.

Me Voici, Terrien Maladroit, Je Suis Un Népisode (d’Il était une Science, bien sûr !)

Commentaires

4 commentaires

  1. Mathilde dit :

    Oooh je ne savais pas du tout qu’un nouveau numéro sortait aujourd’hui, quelle agréable surprise! Comme toujours, très instructif, très clair et très alléchant pour mon esprit faible de littéraire, merci! haha

    Et merci aussi pour ce moyen mnémotechnique (même s’il est désormais obsolète) : en bonus, et après de longues recherches, en voici un actualisé :
    Messieurs, Votre Trahison M’écoeure, Jouer Sur Une Nomenclature!

  2. Céline dit :

    Merci pour l’émission et vos échanges passionnants, en particulier les explications de Pauline quant à Brecht et Galilée (pour une pièce que je vais devoir absolument relire à l’aune de votre échange brillant) !
    Pour info, Kepler n’a pas été le premier à trouver un rapport entre le cosmos, les mathématiques et la musique. Boèce à la Renaissance, mais aussi et surtout … les Grecs ! (oui!) En fait, on trouve chez Platon, dans le livre X de la République, le célèbre mythe d’Er le Pamphylien : il est un de ceux qui sont morts et qui ont ressuscité, et donc qui peuvent ensuite raconter…Son âme a
    parcouru le ciel, il a vu le mouvement des planètes et a observé que chaque planète avait un ton qui lui était propre (un ton fondamental), en fonction de son mouvement et de sa place, et que le nombre des planètes formait une gamme : l’harmonie des sphères. Après lui, Pythagore prouve lui aussi cette “musica mundana”, une harmonie musicale définie en termes de rapports arithmétiques de proportions, et soutient l’existence d’une analogie mystérieuse entre les grandeurs et nombres entiers et les sons dans la partie la plus pure de l’univers … Bref, de là vont aussi découler la “summétria” (un degré supérieur d’organisation du monde correspondant à une théorie des proportions qui organisent l’univers) et plus tard à la Renaissance la foi dans le nombre d’or. 😀
    Encore une fois, merci pour cet échange passionnant, surtout le débat sur la science qui vise à contempler et/ou transformer le monde !

  3. Mélanie dit :

    Encore une très bonne émission !
    Le “déclassement” de Pluton m’avait un peu indignée à l’époque ! Je suis rassurée d’apprendre que c’est toujours une planète même si c’est une planète de 2nd rang ! Sur le sujet de Jupiter, on dit effectivement que cette planète aurait pu devenir une étoile si sa taille l’avait permis ! Je vous renvoie à la littérature de Science fiction et notamment aux romans de Arthur C. Clarke : “2001 odyssée de l’espace” (adapté au cinéma par S. Kubrick) et à “2010 odyssée deux” (adapté au cinéma en 1984 par P. Hyams) qui montre une telle évolution de cette planète.

  4. Pauline Claudot dit :

    Moyen mnémotechnique alternatif: Me Voici Terrien Maladroit, Je Suis Un Normalien ! ^^ (suggéré par ma soeur qui n’a pas idée à quel point existe effectivement une sorte d’équivalence entre les termes “maladroit” et “normalien”…)

Laisser un commentaire

La science, ça vous parle ? Ça vous passionne ? Ça vous effraie ? Oui, mais savez-vous d’où elle vient, cette science ? Et qui l’a créée ?
Dans Il était une Science, partez à la découverte des grands chercheurs et des grandes découvertes qui ont fait la science telle que nous la connaissons aujourd’hui…