20 minutes d'Histoire
L'Histoire sous toutes ses formes : interviews, chroniques, discussions...
Une émission produite par Fabien Paquet, Thibault Béchini et Caroline Bouchier.
20 minutes d’Histoire n°14 • 26 octobre 2011
Ici on noie les algériens
Une émission de Fabien Paquet, Thibault Béchini et Caroline Bouchier.
20 minutes d’Histoire nouvelle formule, c’est parti ! Vous trouverez dans un premier temps l’entretien de la semaine. Yann Potin, chargé d’études aux Archives nationales, répond à Caroline Bouchier suite à une enquête co-écrite avec Vincent Lemire sur la photographie devenue une icône militante Ici on noie les algériens. Cette émission est l’occasion d’explorer les liens entre histoire et mémoire, et comment la charge mémorielle de certains débats actuels posent des questions à l’historien. L’enquête documentaire permet ainsi de redécouvrir les outils de l’historien, mais aussi l’originalité et la force de sa démarche dans la maelström médiatique. Sur le second player, ne manquez pas Le carnet de l’Histoire, chronique de l’actualité de la discipline : expositions, colloques, édition ou retour sur les classiques. Cette semaine Fabien Paquet nous introduit dans les festivités liées aux 1 100 ans de la Normandie. Retrouvez l’article de Vincent Lemire et Yann Potin ici.
L’entretien :
Le carnet de l’Histoire :
À écouter ensuite...
20 minutes d’Histoire n°17
Fabien Paquet reçoit Jean-Michel Poisson, président de la Société d’archéologie médiévale, afin de parler de cette discipline si particulière qu’est l’archéologie.
20 minutes d’Histoire n°16
Fabien Paquet reçoit Martin Aurell pour son ouvrage “Le Chevalier lettré. Savoir et conduite de l’aristocratie aux XIIème et XIIIème siècle”.
PrésidENS n°17
Alors que le 1er tour de la Présidentielle 2012 se tiendra dimanche prochain, Amos Reichman vous propose son carnet de fin de campagne.
Commentaires
En 20 minutes, l’éclairage d’un historien sur un objet historique, un débat historiographique ou un point d’actualité. Entretiens et chroniques varient les formes pour mieux donner à entendre au plus grand nombre des questions sensibles ou pointues. Sans renoncer à la rigueur du travail historique et en tentant de montrer à Jules Renard, que, vraiment, l’Histoire n’est pas une histoire à dormir debout.
