« Dessine-moi un mouton... gros. »

Faut-il encore présenter Jean Rochefort ?

Cette semaine, on sort les mouchoirs parce que ça ne fait même pas un mois qu’il nous a quitté, et on ne s’en remet toujours pas.

Difficile d’oublier cet homme, qui a un jour été le gamin grandissant sous la deuxième Guerre Mondiale et qui, plus récemment, racontait la littérature avec une grande… poésie #BDBL. Celui qu’on appelait « l’homme à la moustache » avait une bonne dose d’humour et d’auto-dérision, mais aussi quelque chose d’un peu tragique en lui, délicieux mélange qui nous manquera sans aucun doute.

Alors sans plus attendre, venez vous morfondre avec nous l’espace de 3 minutes, et rire aussi un peu on l’espère.

« Sans moustache, j’ai l’air de ce que je suis, une vraie saloperie, un faux-derche sans lèvres. »

Extraits diffusés :

• « Et pourquoi pas ? Carte blanche à… Jean Rochefort » sur Arte.
• Les boeufs-carottes (1995-2001).
• Musique de Vladimir Cosma, « Sirba » pour Le grand blond avec une chaussure noire.
• Un éléphant ça trompe énormément (1976) de Yves Robert.
• Musique de Valdimir Cosma, « Hello Marylin » pour Un éléphant ça trompe énormément.
• Le grand blond avec une chaussure noire (1972), de Yves Robert.
• Les Boloss des Belles Lettres, épisode « Madame Bovary ».
• Musique de Charles Trenet, « Douce France »
• Jean Rochefort à Vivement Dimanche !