Economiste à l’ENS : spécimen aussi rare qu’un Mewtow. En conséquence, on se l’arrache sur les plateaux de radio. Sa côte est élevée au marché noir. On le dit déprimant bien qu’il parle avec entrain des crises financières ou monétaires, ses sujets de prédilection.
La journée type d’un économiste : après avoir pris le petit déjeuner optimisant au mieux sa fonction d’utilité sur ses n arguments, il attend qu’une crise financière arrive. En bon adepte de théorie des jeux, sa vie sociale est réduite. Il s’agit d’ailleurs d’un piètre camarade : il se préoccupe uniquement du prix concurrentiel de marché ce qui l’amène à refuser toute sortie dans les cafés parisiens parce que « ces salauds d’oligopolistes essaient de m’extraire tout mon surplus et moi j’aime pas ça ». En ce qui concerne sa vie amoureuse, il n’a de cesse d’inventer des mécanismes complexes afin d’être certain de gagner ses jeux de négociation.
Gravir la colline des plaisirs à deux.
Le grand journal de TrENSistor est filmé, le studio s’est (re)fait une beauté !
Deux numéros sur les politiques non conventionnelles et une question : pourquoi Mario Draghi est-il devenu un acteur central de l’économie européenne ?
Xavier Timbeau, directeur du département économie et prévision de l’OFCE, parle de chocs macroéconomiques et de déflation.
À long-terme, nous serons tous morts. Et à court-terme, c’est pas mieux.
Pour le direct d’anniversaire de Trensistor, la rédaction a préparé quelques spots publicitaires… En voici une compilation.
A l’occasion des JECO 2014, Lino a pu interroger Patrick Artus, économiste en chef à Natixis