À la découverte du spectacle vivant à Lyon et à l’ENS !
Une émission produite par Coline Lafontaine et Juliette Meulle.
Une émission de Marie Lécuyer, Coline Lafontaine et Juliette Meulle.
Du 19 au 29 octobre 2017, c’est le festival de théâtre Sens Interdits à Lyon ! Le festival, à forte teneur politique, propose des pièces étrangères et des rencontres avec des metteurs-euses en scène invité-e-s. Pour cette 5e édition, les frontières, la violence et la Colombie sont à l’honneur. Toutes les informations et la billetterie sont disponibles ici.
Dans ce 66e numéro, Coline et Juliette vous parlent d’abord de Mujer Vertical, une pièce mise en scène par Éric Massé. Le texte met en résonance les paroles de militantes féministes, d’écrivaines, d’artistes, de femmes politiques ou d’ex-FARC, de victimes… Une création autour de la Colombie, au théâtre de la Renaissance.
Puis c’est au tour de Je n’ai pas honte de mon passé communiste, une pièce de la metteuse en scène Sanja Mitrović et de l’acteur Vladimir Aleksić. Une question : que reste-t-il de la République socialiste de Yougoslavie ? Que peuvent encore partager, aujourd’hui, des communautés politiques, ethniques et religieuses différentes ? C’était à voir au théâtre de Vénissieux.
La guerre civile colombienne et son héritage traités au théâtre : pour Coline et Juliette, Bec de Lièvre était la pièce à retenir du festival Sens Interdits.
Premier jour du festival Sens Interdits : retour critique sur Martyr, une pièce autour du fanatisme religieux.
Avant-dernier jour du festival Sens Interdits, avec un diptyque chorégraphié et une pièce à forte teneur documentaire : Body Revolution/Waiting, et Zig Zig.
Une volonté : faire la promotion et la critique du spectacle vivant à Lyon. Pour cela nous recevons les troupes afin qu’elles nous parlent de leur travail et vous donnent envie d’aller les voir, puis nous assistons à une représentation et en faisons la critique, dans la bonne humeur, en toute sincérité et sans concession. Un objectif : vous rappeler d’aller au théâtre, à l’opéra ou au ballet, bref de vivre en spectateurs !