Des femmes et des hommes...

Billet d’humeur – Talents hauts et Lavallière : des femmes dans l’espace littéraire

Commençons mars, commençons bien ! Dans ce billet d’humeur introductif, Léa vous raconte un nouvel épisode dans l’épopée du Nobel suédois. Sara Danius quitte son siège, Les Talents Hauts glissent sans encombre sur un parvis peu favorable et “Les Plumées” épluche les grands noms féminins (méconnus)… Bref, que d’aventures !

L’homo novus s’invite à la Domus

Votre JDC poursuit sur sa lancée féminine et cette fois-ci, c’est Claudine Doury qui est sous nos projecteurs radio. Invitée à vernisser le 5 mars son exposition de photographie “L’homme nouveau” à la galerie Domus, elle nous offre à voir le portrait d’une jeune génération post-effondrement soviétique. Hommes à venir, hommes au regard nouveau, à quoi ressemblent les jeunes de St Pétersbourg ?

Les rencontres professionnelles inter’arts

Avis aux cinéphiles ! Une autre rencontre s’annonce prometteuse dans la semaine à venir. Jeudi 7 mars, Nicole Brenez, programmatrice à la Cinémathèque, parlera de son parcours et du cinéma d’Avant-garde en Dutilleux. L’événement sera suivi d’une projection en Kantor, au titre plus qu’évocateur : “Cinéma politique et invention formelle”.

Le festival “Toute la mémoire du monde” à Paris

Et hop ! On en profite pour prendre un billet Paris-Lyon et filer illico à ladite Cinémathèque ! Du 13 au 17 mars, ne manquez pas le festival “Toute la mémoire du monde”. Il y en aura pour tous les goûts: deux réalisateurs vous présenteront leurs films et leur carrière, son inventeur vous relatera l’histoire du Steadycam, restaurations inédites et réalisations folles de tous les coins du monde vous attendent dans les salles obscures de la capitale.

Dans l’antichambre de l’Ombre…

Et pour clore ce journal, nous mettons un point d’honneur à annoncer (en deux secondes un quart) l’événement du week-end : ENScène vous a concocté un joli programme, avec Ombre, d’Elfriede Jelinek. Vous connaissez bien la cave infernale qu’est la Kantor, alors pourquoi pas s’y enfermer vendredi, samedi ou dimanche, et assister à une mise en scène qui promet ? N’ayez crainte de faire un pied de nez au beau temps ; la pièce fera trop d’Ombre au soleil !