Histoire et historiens sont au programme de cette émission protéiforme.
Une émission produite par Marie Lécuyer, Arthur Polluce et Solène Baron.
Une émission de Marie Lécuyer.
Le travail de l’archéologue, aussi trépidant qu’il n’y paraît ? A voir les très hot Indiana Jones, Lara Croft & autres Sydney Fox, on en a l’impression. Hommes et femmes brillants, voyages à l’autre bout du monde, trésors et ennemis à tous les coins de pyramide…Le fantasme s’enracine dans les films, les séries, les jeux vidéo.
Dans ce nouveau numéro de 3 minutes 42 d’historiographie, Marie regarde d’un peu plus près la manière dont on se représente l’archéologie dans la pop culture, et celle dont on la vit, bénévole ou professionnel. Un billet autour de l’imaginaire et de l’utile : on fait aussi de l’histoire, en faisant de l’archéologie.
[En virgules : The feeling begins, extrait de la BO de La dernière Tentation du Christ ; Benjamin Gates et le Trésor des Templiers, extrait de la bande-annonce.]
Le grand journal de TrENSistor est filmé, le studio s’est (re)fait une beauté !
Président du CA de Valeo et administrateur d’Alstom, cet ancien normalien de Saint-Cloud a derrière lui une longue carrière dans l’industrie de l’énergie.
Après les fêtes, on parle régime (d’historicité) avec Marie. Paraît-il, l’histoire serait pesante et indigeste…
L’émission d’histoire de Trensistor, avec des billets d’humeur, des découvertes, du démontage de clichés, et surtout, régulièrement, des rencontres avec des historiens, nous permettant de découvrir leur travaux.
Le grand retour de 3 minutes 42 : un sens de l’humour à toute épreuve, une approche décalée mais pas niaise, et la défense et illustration de la filmographie de Nicolas Cage, je dis OUI. Merci Marie pour ce beau numéro !
Y’a pas à dire… ça décoiffe !
Quel plaisir de te retrouver derrière le micro, Marie, flamboyante comme l’Égypte, pour déclarer ton amour à Nicolas Cage d’abord, l’archéologie aussi. Vivement juillet que tu sois agrégée et que tu puisses davantage nous régaler avec tes chroniques drôles, spirituelles et informées, sans compter les bruitages et extraits sonores. Bref, 3 minutes 42 que l’on aimerait entendre un peu plus souvent, qui m’avait manquées, et qui prouvent, s’il en était encore besoin, que les ondes ont leur reine.