À la découverte du spectacle vivant à Lyon et à l’ENS !
Une émission produite par Coline Lafontaine et Juliette Meulle.
Une émission de Marie Lécuyer, Antoine Alario, Marie Blanc et Webmestre TrENSistor.
Pour ce 59e numéro d’Enspectateurs, la thématique est de toute évidence la Russie, et plus exactement Dostoïevski. C’est encore Antoine qui est aux manettes et qui se retrouve chargé d’animer le débat autour du Joueur, mis en scène par Valentine Sas et Anna Logacheva en théâtre Kantor. Autour de lui, pas moins de trois chroniqueuses à tenir : Marie (la vieille), Marie (la jeune, si souple qu’elle est à la fois en régie et derrière le micro) et Emilie. Alors, cette adaptation d’une longue nouvelle de Dostoïevski valait-elle le coup d’œil ?
Puis nous retrouvons Rémy, qui en seconde partie d’émission vient nous parler avec des étoiles plein les yeux d’un spectacle qui vient de changer sa vie : Karamazov, adapté là encore de Dostoïevski, mise en scène de Jean Bellorini, au théâtre des Célestins.
Tout un pavé de littérature russe (l’émission en entier) :
Juste un tour de roulette au casino (la chronique de Marie sur Le Joueur) :
Juste une rencontre avec la fratrie (la chronique de Rémy sur Karamazov) :
Anna et Valentine adaptent Le Joueur, roman de Dostoïevski, au théâtre. Elles viennent en parler pour ENSpectateurs.
Aux InterQ, Marie et son équipe parlent de La Petite Sirène, Elektra et Grito/Je crie.
Marie et ses trois chroniqueuses s’intéressent à J’Ai Jamais Vu la Mer, en théâtre Kantor ; puis à Tailleur pour Dames, aux Célestins.
Une volonté : faire la promotion et la critique du spectacle vivant à Lyon. Pour cela nous recevons les troupes afin qu’elles nous parlent de leur travail et vous donnent envie d’aller les voir, puis nous assistons à une représentation et en faisons la critique, dans la bonne humeur, en toute sincérité et sans concession. Un objectif : vous rappeler d’aller au théâtre, à l’opéra ou au ballet, bref de vivre en spectateurs !
Le Jouer de Valentine Sas et Anna Logacheva était vraiment très bien, peut-être trop centré sur l’histoire d’amour d’Alexei et Polina qui n’ést pas l’idée centrale du roman mais après, c’est une interprétation des metteuses en scène. Par contre, la pièce aux Théâtre des Céléstins a aussi changé ma vie mais dans l’autre sens. Une vulgaisation absolue, j’avais l’impression que le spectateur a été pris pour un imbécile… En tout cas, Dostoïevski en scène, c’est toujours compliqué car il n’a jamais écrit pour le théâtre.