L'émission qui donne la parole aux étudiant·es de l'ENS dont les parents ne sont pas cadres pour discuter transfuge de classe et syndrome de l'imposteur
Une émission produite par Marie Bronner.
Une émission de Marie Bronner.
Pour ce 7ème épisode de TrENSfuge, c’est Si Hao, étudiant en économie à l’ENS Saclay qui a participé !
Il me raconte son intégration à l’ENS après être passé par une année de prépa puis par la fac, sa passion pour l’économie qui l’aide contre son syndrome de l’imposteur, sa prof de philosophie du lycée qui lui a fait découvrir la classe prépa, ou encore comment le fait de venir de Seine Saint Denis est un élément important de son parcours.
“C’est pas parce que tu viens du 93 ou autre que tu es voué à l’échec dans le supérieur, même si c’est dur c’est vrai”
[Cet épisode n’a pas été enregistré en studio, je m’excuse donc pour le son de moindre qualité]
Si vous souhaitez participer à ce podcast, ou que vous avez des questions, n’hésitez pas à m’écrire ici : marie.bronner@ens-lyon.fr
Pour cet épisode 2, Morgane nous raconte comment elle a découvert en fin de prépa ce pour quoi elle se préparait, sa santé mentale depuis qu’elle est à l’ENS, ou encore comment elle s’inspire de sa grand-mère au quotidien.
Dans cet épisode, Anne-Lise me raconte le choc qu’elle a pu ressentir en passant d’un travail manuel et physique quand elle travaillait dans la ferme de ses parents à un travail intellectuel avec la classe prépa et l’ENS, ou encore comment elle a rebondit après avoir raté le concours de l’agrégation.
Dans cet épisode 6, Dorian nous raconte le sentiment de crise qu’il a ressenti en arrivant à l’ENS, comment le fait de partir de l’ENS spatialement parlant lui a fait du bien, ou encore sa difficulté à passer d’un milieu social à un autre.
Quand on demande aux gens à l’ENS ce que leurs parents font comme métier, il s’agit presque toujours des mêmes réponses : parents profs, parents ingénieurs, parents chercheurs, bref parents cadres. Mais comment le vivent celleux pour qui ce n’est pas le cas ? Comment se sentent les enfants d’agriculteurs, d’ouvriers, ou de commerçants ? Se considèrent-iels comme transfuges de classe ? Je leur tends mon micro pour en discuter avec elles et eux.