L'émission qui donne la parole aux étudiant·es de l'ENS dont les parents ne sont pas cadres pour discuter transfuge de classe et syndrome de l'imposteur
Une émission produite par Marie Bronner.
Une émission de Marie Bronner.
Pour ce 8ème épisode de TrENSfuge, c’est Anne-Lise, étudiante en lettres classiques, qui répond à mes questions. Elle me raconte sa découverte du travail intellectuel en arrivant en classe prépa puis à l’ENS après avoir travaillé pendant des années dans la ferme de ses parents. Elle me raconte aussi l’échec du concours de l’agrégation et comment elle a rebondit, ou encore comment sa foi la guide au quotidien.
« J’avais connu ce qu’était le travail manuel avec la ferme de mes parents, j’aimais ça, et de mesurer que le travail intellectuel peut permettre de gagner sa vie et que ça demande autant d’efforts qu’un travail physique finalement, ça a été un apprentissage, un apprivoisement«
Si vous souhaitez participer à ce podcast, ou que vous avez des questions, n’hésitez pas à m’écrire ici : marie.bronner@ens-lyon.fr
Un char de guerre ? Un monstre de film d’horreur ? Un cadeau spécial pour une enfant spéciale ? Découvrez les multiples facettes de cette nouvelle rêverie lumineuse de Léonard…
Moïra me raconte comment le monde associatif à l’ENS l’a aidée à lutter contre son syndrome de l’imposteur, ou encore la différence notamment économique qu’elle a ressentie vis-à-vis des autres.
Pour ce 3ème épisode, Lucas nous raconte comment son stage lui a permis de dépasser son syndrome de l’imposteur, nous parle du rapport à sa famille qui n’a pas tant changé, ou encore de comment Stephen Hawking a été un modèle pour lui.
Quand on demande aux gens à l’ENS ce que leurs parents font comme métier, il s’agit presque toujours des mêmes réponses : parents profs, parents ingénieurs, parents chercheurs, bref parents cadres. Mais comment le vivent celleux pour qui ce n’est pas le cas ? Comment se sentent les enfants d’agriculteurs, d’ouvriers, ou de commerçants ? Se considèrent-iels comme transfuges de classe ? Je leur tends mon micro pour en discuter avec elles et eux.