L'émission qui donne la parole aux étudiant·es de l'ENS dont les parents ne sont pas cadres pour discuter transfuge de classe et syndrome de l'imposteur
Une émission produite par Marie Bronner.
Une émission de Marie Bronner.
Dans ce 6ème épisode de TrENSfuge, Dorian nous raconte le sentiment de crise qu’il a ressenti en arrivant en première année à l’ENS – le fait d’avoir moins beaucoup de cours et de ne plus être accompagné notamment, comment le fait de partir de l’ENS lui a fait beaucoup de bien, ou encore sa difficulté à passer d’un milieu social à un autre.
“C’est très difficile comme ça de jongler avec des mondes sociaux mais aussi spatiaux qui sont divergents, qui se rencontrent jamais”
Si vous souhaitez participer à ce podcast, ou que vous avez des questions, n’hésitez pas à m’écrire ici : marie.bronner@ens-lyon.fr
Dans ce 7ème épisode, Si Hao, en économie à l’ENS Saclay, me parle de son parcours par la prépa puis la fac, de sa passion pour l’économie qui l’aide à lutter contre ses doutes, ou encore comment venir de Seine Saint Denis est un élément important de son parcours.
Dans cet épisode, Anne-Lise me raconte le choc qu’elle a pu ressentir en passant d’un travail manuel et physique quand elle travaillait dans la ferme de ses parents à un travail intellectuel avec la classe prépa et l’ENS, ou encore comment elle a rebondit après avoir raté le concours de l’agrégation.
Dans cet épisode 9, Hugo, étudiant à l’ENS de Rennes, me parle de la difficulté qu’il a eu à communiquer avec sa famille et le décalage qui s’est créé une fois avoir commencé les études supérieures, ou encore comment il a hésité à envoyer une lettre de démission parce qu’il ne se sentait pas à sa place.
Quand on demande aux gens à l’ENS ce que leurs parents font comme métier, il s’agit presque toujours des mêmes réponses : parents profs, parents ingénieurs, parents chercheurs, bref parents cadres. Mais comment le vivent celleux pour qui ce n’est pas le cas ? Comment se sentent les enfants d’agriculteurs, d’ouvriers, ou de commerçants ? Se considèrent-iels comme transfuges de classe ? Je leur tends mon micro pour en discuter avec elles et eux.