Découvrez une nouvelle image du rap avec des analyses littéraires, sociologiques, historiques… de morceaux divers, en plus d’autres formats.
Une émission produite par Lucie Sol.
Une émission de Lucie Sol et Clara Le Goff.
« C’est pas la capitale : c’est Marseille bébé » : Clara décrypte les spécificités du rap marseillais aujourd’hui ainsi que ses figures majeures (Jul, Sch, Kofs…).
« Bande organisée » est le titre qui incarne peut-être le mieux l’esprit de groupe, qui fait la force et la particularité des rappeurs marseillais. C’est celui qui se qualifie d’ « ovni », Jul, qui est pourtant le rappeur le plus emblématique de cette ville. Son signe phare s’est même étendu hors de sa fanbase et de la ville de Marseille pour devenir le symbole de toute une génération.
Comme d’habitude, amateurices confirmé∙es ou novices en la matière, fans ou détracteurices, si l’idée d’interroger ce genre qui divise vous plaît, restez connecté∙es !
Et si vous souhaitez vous lancer également dans cette aventure, écrivez-nous sur l’Instagram de TrENSistor 🙂
Titres cités dans l’épisode :
Rapsodie est une émission originale Trensistor, produite par Lucie Sol.
Retrouvez l’intégralité des épisodes sur vos plateformes d’écoute habituelles et sur trensistor.fr
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Aujourd’hui Marseille est l’une des villes les plus emblématiques du rap français : mais comment l’est-elle devenue ? C’est ce que nous raconte Clara ici.
Auditeurs et auditrices, entendez-vous le vol noir des partenariats public-privé sur la Plaine ?
Marie, Floriane, Maud et Radia sont en Indonésie. Elles tendent leur micro aux initiatives se battant pour l’inclusion de toutes et tous.
Découvrez une nouvelle image du rap avec des analyses qui se focalisent sur les textes, grâce à des approches littéraires comme sociologiques, historiques, géographiques…
Pas question pourtant de se restreindre au « rap à texte », et les autres formes de rap sont aussi étudiées lors de débats ou d’interviews.
Le but : interroger voire déconstruire nos stéréotypes sur ce genre varié, démêler le vrai du faux, reconnaître ses codes et ses écueils sans l’y réduire et prendre en compte les autres morceaux qui peuvent s’apparenter au rap sans pourtant en mobiliser les clichés les plus récurrents.
Et vous, quelle image avez-vous du rap ?