Quand la radio parle de la radio...
Une émission produite par Céline Autin et Marie Blanc.
Une émission de Céline Autin.
Première partie d’un entretien avec Fañch Langoët, blogueur et écouteur, spécialiste et amoureux des ondes qui a accepté de nous parler de sa passion.
Voilà maintenant 7 ans qu’il nous régale de billets sur Radio Fañch, à partager ses coups de cœur d’écoute, ses envies, ou encore ses inquiétudes face aux évolutions de la radio publique (en quelques 1890 billets tout de même !)…
Car Fañch Langoët est un peu comme une mémoire radiophonique vivante, un passeur qui prend la transmission comme mot d’ordre et lance un appel à la profondeur historique pour « penser » la radio et ses transformations. Mais comment écrire sur la radio? Quels formats utiliser, que dire, et surtout pour quel public ?
Radio publique, programmes, podcasts, critiques, rites et rendez-vous : découvrez les histoires sans langue de bois de Fañch dans ce premier épisode, et sur son blog, Radio Fañch.
Depuis la rentrée, Fañch a entamé une belle série dédiée aux années 1967-1968, déclinées sous la forme d’un feuilleton « société » et d’un autre plus « culturel ». Pour lire le premier épisode, c’est par là.
Image : Jack Kerouac et Gian Pieretti (1966), via Wikimedia Commons.
Fañch Langoët — « Radio Fañch » — nous emmène dans sa radio idéale.
Deuxième irradiation pour Fañch. Il revient sur des personnages dont on parle peu et pourtant qui font la radio au sein des équipes techniques.
Qu’est ce que la podcastisation de la radio publique (mais également privée) a engendré comme changements de pratiques de production, comme changements de pratiques créatives chez celles et ceux qui produisent des contenus sonores ? Une table ronde en compagnie d’Olivier Minot et de Céline Asselot.
La radio à la radio. On assiste à des émissions. En direct ou enregistrées. On rencontre l’équipe. On discute, on apprend. On remarque les petits détails. On fait une émission. Avec des extraits de l’émission et des interviews. Avec le récit des dits petits détails. Avec le regard de l’auditeur-spectateur. Et Fañch Langoët, écouteur et blogueur, de retracer l’histoire de la radio, par la petite porte, celle de l’irradié depuis toujours. Et nous aussi on irradie maintenant.
Très bien !
Si Gilles Davidas dit que c’est très bien,
c’est que c’est pas mal, voire très bien !