Alice Jack a sans doute apporté son petit caillou à l'édifice de Trensistor en produisant des chronicomiques de plus ou moins bon goût et des reportages radiophoniques. Elle a ensuite produit un documentaire pour Les Pieds sur Terre de France Culture, œuvre unique mais dont elle ne cesse de s'enorgueillir, même 4 ans plus tard. Puis, elle a contribué à la production de nombreuses émissions sur France Inter, avant de quitter les grandes radios nationales pour une petite radio associative plus vitriolée sur laquelle elle animait jusqu'à cet été une émission féministo-littéraire. Cette biographi est en fait presque une nécrologie puisqu'elle est aujourd'hui obligée de quitter l'antenne pour se consacrer à la rédaction de sa thèse sur le roman noir.
Ils y a ceux qui croient encore à la politique, qui espèrent faire changer les choses par le vote. Et puis ils y a les autres, les déçus, les plus touchés par la crise.
Pour cette première de Des murs et des oreilles, nous sommes allés installer notre micro chez les coiffeurs pour hommes de la rue de Marseille.
Alice dénonce la Saint-Valentin ; puis Anne-Laure et Thibaut sont allés interroger les passants. Qu’est-ce qu’on fait, dans ce gros bâtiment appelé É.N.S ?
Alice avoue tout : oui, elle a adoré Avatar.
Des yuppies au bobos, il n’y a qu’un pas : décryptage d’un nouveau modèle social inspiré de la côté Ouest américaine et qui puise tant dans la contre-culture des années 60 que dans la vague néo-libérale des années 1980.
Tandis qu’Emmanuelle revient sur l’actualité de la semaine avec humour, Alice décrypte pour nous ce que cache le terme « bobos », tout droit venus des États-Unis mais ré-adapté au contexte français.
Les avantages de Facebook pour les nerds, par Alice ; puis un micro-trottoir pour débusquer les plus fous d’entre nous.
Cette fois, c’est des Scienteux qu’on va parler. Vous savez, ces geeks à lunettes. On les pensait hors de notre portée, c’était sans compter sur le WEI. Là on a vu.
Noël avec Noël (Mamère) : dur dur d’être écolo. La laine c’est nul et le carton c’est moche. Et en Festive, alors, le réchauffement, ça donne quoi ?
Pour sa première chronique, Alice passe en revue les effectifs de la toute jeune webradio.