La Bibliothèque de Babel
Mise en voix des textes et des langues du monde entier.
Une émission produite par Florian Cartellier.
La Bibliothèque de Babel n°2 • 13 avril 2011
José Eduardo Agualusa
Une émission de Démétrios.
C’est encore Borges qui est à l’honneur de La Bibliothèque de Babel cette semaine mais avec une touche un peu malicieuse. En effet, Julie vous lit une nouvelle de l’écrivain angolais José Eduardo Agualusa qui imagine que l’illustre argentin se réveille, après sa mort, au milieu d’un champ de bananiers — bien loin, hélas !, de ses livres bien-aimés… Un texte plein d’humour qui montre que le rire est l’un des plus beaux hommages qui puisse être rendu à un écrivain. Pour faciliter votre écoute, nous vous proposons deux pistes: la première contient la présentation suivie de la lecture en portugais et en français et la deuxième ne contient que la lecture en français.
La lecture en français :
À écouter ensuite...
La Bibliothèque de Babel n°4
Cette semaine, La Bibliothèque de Babel vous présente un texte de l’écrivain américain d’origine dominicaine, Junot Diáz. Une lecture fidèle à son style plein d’irrévérence.
La Bibliothèque de Babel n°5
Pour commencer l’année douceur, nous vous proposons un extrait d’un livre, mais c’est à vous de deviner d’où est extrait le texte : la réponse se trouve à la fin de la lecture.
La Bibliothèque de Babel n°3
Cette semaine, nous vous proposons un court extrait d’un texte de l’auteur provençal Jean Giono, avec une lecture de quelques pages de Les Vraies Richesses.
Commentaires
Nouvelle édition de la Bibliothèque de Babel. Quelques textes choisis, appartenant à des genres différents, à des langues différentes, traduits le cas échéant pour la bonne intelligence de l’émission et le confort des auditeurs ; quelques textes donc se trouveront ici rassemblés, comme les langues discordantes qui surgirent dans la ville de Babel au moment où les hommes voulurent s’égaler à Dieu. La seule ambition que nous avons ici est de les confronter : car si les langues et les registres changent, la voix reste humaine, de même que les mots, et la littérature ne parle jamais que des choses humaines.
