L'actualité vue d'en bas, à l'écoute du quotidien et des voix silencieuses.
Une émission produite par la Rédaction.
Une émission de Webmestre TrENSistor.
À l’Université Toulouse-2 « le Mirail », la grève dure depuis plus de deux mois. L’enjeu ? Un projet de fusion d’établissements, mené dans le cadre d’une candidature Idex, massivement rejeté par les étudiants, enseignants et personnels du Mirail et malgré tout imposé par leur président.
Ce 19 février, le jury de l’Idex était en visite à Toulouse afin d’auditionner les porteurs du projet. Pour l’accueillir, les étudiants ont organisé une journée « Fac ouverte » pour présenter « le meilleur du pire du Mirail », avant de rejoindre une manifestation sous les fenêtres du rectorat. Et alors que partout en France la mobilisation contre le Plan étudiants peine à s’organiser, plusieurs centaines de personnes, toujours aussi déterminées après deux mois de lutte, étaient au rendez-vous pour faire sa fête à l’Idex.
Musique : Soft and Furious, Violet Son. Merci à toutes les personnes interrogées : Aurélie-Anne, Salomé, Axel, Brigitte Almudever, Osni, ainsi qu’aux militant⋅e⋅s de l’UET pour leur accueil.
Vous pouvez prendre des nouvelles de la mobilisation sur la page Facebook « Info lutte Université Mirail » et sur le compte Twitter de l’UET.
Enfin, par souci de transparence (et de publicité ?), signalons que l’auteur de ce reportage est membre d’Idexit, un collectif lyonnais mobilisé sur les questions d’Idex qui se fera un plaisir de vous renseigner plus avant à ce sujet.
Deux Georgette, un Thomas ; ensemble, ils parlent d’égalité femmes-hommes, avec humeur, humour et conviction : #feminism-is-the-new-sexy #Georgette_Sand
Demain, c’est la Grève internationale pour le climat, les manifestations étudiantes sont-elles efficaces ? Comment s’organisent la mobilisation d’un mouvement plus ou moins politisé ?
Retour sur le « Printemps Érable », mouvement social étudiant sans précédent qui agite actuellement la société québécoise.
En quelques rencontres et autant de voyages, au coin de la rue ou à l’autre bout de la France, Hors les murs se déplace et suit l’actualité auprès de ceux qui la font, les écoute et se laisse surprendre, pour changer d’avis, sans cesse, sur le monde qui nous entoure.
Émission commencée sous le titre Des murs et des oreilles :
« Parce que nos villes regorgent de mots, parce que nous préférons leur poids au choc des photos, parce que les voix, les bruissements et les silences parlent très bien seuls, nous leur laissons la parole. Au fond des cours ou derrière les murs demeurent des lieux, des moments et des personnages singuliers que l’on n’entend que de loin. Des Murs et des Oreilles prend le temps, flâne, déambule et prête une oreille attentive, une fois n’est pas coutume, aux rumeurs de la ville… pour raconter, à chaque fois, une nouvelle histoire. »